La toxoplasmose peut inquiéter pendant la grossesse. Pourtant, avec un suivi adapté et un accompagnement bienveillant, tu gardes toute ta puissance. Informations claires et rassurantes pour traverser cette étape en confiance.
La toxoplasmose est une infection parasitaire causée par Toxoplasma gondii. Dans l'immense majorité des cas, elle passe totalement inaperçue chez les adultes en bonne santé.
Mais lorsqu'elle est contractée pour la première fois pendant la grossesse, elle peut présenter un risque pour le bébé. C'est pourquoi en France, un suivi spécifique est mis en place.
C'est une affection bien connue et souvent redoutée — pourtant, quand elle est bien accompagnée, elle se gère très bien. Le protocole français peut sembler contraignant, mais il permet de détecter et de prendre en charge toute infection rapidement.
Dès le début de ta grossesse, une prise de sang permet de savoir si tu es immunisée contre la toxoplasmose. Cette sérologie recherche la présence d'anticorps dans ton sang.
Si tu es immunisée (tu as déjà été en contact avec le parasite par le passé) : tu n'as plus besoin de contrôle. Tu es protégée pour toute ta vie, et ton bébé aussi.
Si tu n'es pas immunisée : une sérologie mensuelle sera réalisée jusqu'à l'accouchement, et une dernière fois dans le mois qui suit la naissance. L'objectif est de vérifier qu'aucune contamination ne survient pendant cette période.
Si une infection récente est détectée (on parle de séroconversion), une prise en charge rapide est mise en place :
Un traitement antibiotique spécifique est prescrit, généralement de la spiramycine
Une amniocentèse peut être proposée pour déterminer si le parasite a été transmis au bébé
Un suivi échographique rapproché est mis en place pour surveiller le développement du bébé
Tu es orientée vers une maternité de niveau suffisant pour ce type de suivi

La toxoplasmose se transmet le plus souvent par :
La consommation de viande crue ou mal cuite
Les fruits et légumes mal lavés ou non épluchés
Le contact avec des excréments de chat contaminés (dans la litière ou dans la terre du jardin)
Quelques habitudes permettent de limiter considérablement les risques.
En cuisine :
Lave soigneusement fruits, légumes et herbes aromatiques à l'eau claire
Épluche les légumes crus quand c'est possible
Fais bien cuire la viande (à cœur, sans trace de rose)
Lave couteaux, économes et planches à découper après avoir manipulé de la viande crue
Lave-toi les mains avant et après la préparation des repas
Au jardin :
Porte des gants pour jardiner ou manipuler de la terre
Lave-toi bien les mains après
Avec ton chat :
Si tu as un chat, demande à quelqu'un d'autre de nettoyer la litière
Si tu dois le faire toi-même, porte des gants et nettoie-la quotidiennement (les oocystes ne deviennent infectieux qu'après 1 à 5 jours)
Continue à câliner ton chat normalement — le simple contact n'est pas dangereux
Le plus important d'abord : respire. Avec une prise en charge rapide, le traitement antibiotique permet de réduire fortement le risque de transmission au bébé.
Le risque de transmission materno-fœtale augmente avec l'avancement de la grossesse (environ 15 % au premier trimestre, 44 % au deuxième trimestre et 71 % au troisième trimestre), mais les conséquences sont plus graves si la contamination survient tôt.
Le plus souvent, le bébé va bien. Et même en cas de transmission, beaucoup d'enfants naissent sans problème grâce au traitement précoce.
Si une séroconversion est confirmée, voici ce qui se passe généralement :
Le traitement antibiotique : la spiramycine est le traitement de première intention et doit être débuté le plus tôt possible, idéalement dans les 3 semaines suivant la séroconversion, pour réduire les risques de transmission materno-fœtale.
La spiramycine est un antibiotique de la famille des macrolides. Elle se concentre dans le placenta mais ne le traverse pas facilement, ce qui permet de limiter le passage du parasite vers le bébé sans l'atteindre directement.
Important à savoir sur les antibiotiques : comme tous les antibiotiques, la spiramycine peut perturber ta flore intestinale. Cette flore est précieuse car elle se transmet à ton bébé à la naissance et joue un rôle important dans sa santé digestive et immunitaire.
Si tu prends des antibiotiques pendant plusieurs mois, pense à en parler avec ta sage-femme ou ton médecin pour :
Évaluer le bénéfice-risque selon ta situation
Prendre des probiotiques adaptés pour compenser
Avoir le temps de restaurer ta flore intestinale avant l'accouchement
Le suivi échographique : des échographies plus fréquentes permettent de vérifier la croissance et la vitalité de ton bébé, et de dépister d'éventuelles anomalies.
Une amniocentèse peut être proposée pour savoir si le bébé a été contaminé. Cette technique recherche l'ADN du parasite dans le liquide amniotique.
C'est un choix à faire de manière éclairée, car comme tout examen invasif, l'amniocentèse comporte des risques qu'il est important de mettre en balance avec les bénéfices attendus :
Le principal risque est celui d'une fausse couche, estimé entre 0,5 % et 1 % des cas, survenant le plus souvent dans les 8 à 10 jours suivant l'examen
Des études récentes (2024) suggèrent que ce risque pourrait être encore plus faible grâce aux progrès techniques : guidage échographique systématique, aiguilles moins traumatiques, meilleure formation des opérateurs
Des risques rares d'infection, de fuite de liquide amniotique ou d'échec de culture cellulaire nécessitant un second prélèvement
Pour les femmes de rhésus négatif, une injection de sérum anti-D est réalisée juste après pour éviter l'immunisation fœto-maternelle
Elle est réalisée au minimum 4 semaines après l'infection maternelle et après 16-18 semaines de grossesse. Les résultats concernant la toxoplasmose sont généralement disponibles en quelques jours.
Prendre le temps de la décision : Avant de faire une amniocentèse, tu as le droit de :
Poser toutes tes questions sur le bénéfice-risque dans ta situation spécifique
Comprendre ce que changerait un résultat positif ou négatif pour toi
Prendre le temps de réfléchir (dans la mesure du délai médical)
Refuser cet examen si tu estimes que les risques sont supérieurs aux bénéfices pour toi
Demander un deuxième avis si tu en ressens le besoin
L'amniocentèse, comme n'importe quel autre examen, n'est jamais obligatoire. C'est une proposition médicale qui nécessite ton consentement éclairé et signé.

Recevoir un diagnostic de toxoplasmose peut te faire basculer dans un suivi très médicalisé : maternité de niveau 3, examens fréquents, protocoles stricts...
Mais cela ne signifie pas que tu perds ta place d'actrice de ta grossesse et de ta naissance.
Tu peux :
Continuer à être accompagnée par ta sage-femme référente (même si c'est une sage-femme libérale), en parallèle du suivi hospitalier
Exprimer tes souhaits et tes limites concernant les examens proposés
Questionner chaque décision pour comprendre et choisir en conscience
Demander à revenir dans une structure plus petite une fois que les résultats sont rassurants
Même envisager un accouchement à domicile ou en maison de naissance, selon ton suivi et les résultats
Le protocole français de surveillance de la toxoplasmose est l'un des plus stricts au monde. Dans de nombreux pays européens comme le Royaume-Uni, le Danemark ou les pays scandinaves, il n'y a pas de dépistage systématique car le risque y est considéré comme faible.
Pourquoi cette différence ?
Ce n'est pas uniquement une approche plus "précautionneuse" de la France : le parasite est objectivement plus présent dans notre environnement et notre alimentation.
En France, environ 40 % des adultes ont déjà été en contact avec le parasite au cours de leur vie (contre moins de 10 % au Royaume-Uni et 15-30 % dans les pays nordiques). Cela signifie que le parasite circule beaucoup plus dans notre pays.
Concrètement : une femme enceinte non immunisée en France a plus de risques de rencontrer le parasite pendant sa grossesse qu'une femme enceinte au Royaume-Uni, car :
La viande crue ou peu cuite est plus consommée en France (tartares, charcuterie crue, cuisson "bleue" ou "saignante")
Le parasite survit mieux dans notre climat tempéré et humide
Nos sols et notre environnement sont plus contaminés
Notre culture gastronomique valorise les produits artisanaux et fermiers
Le protocole français de surveillance de la toxoplasmose est l'un des plus stricts au monde. Dans de nombreux pays européens comme le Royaume-Uni, il n'y a pas de dépistage systématique car le risque est considéré comme faible.
Cette différence d'approche peut être rassurante : cela montre que le niveau de surveillance en France est très précautionneux. Mais cela peut aussi générer beaucoup de stress.
Les formes sévères de toxoplasmose congénitale sont peu fréquentes et ne concernent que les infections du premier et du deuxième trimestre. Avec un traitement rapide et un suivi adapté, la grande majorité des bébés vont bien.
Être entourée de professionnel·les qui te font confiance et qui croient en ta capacité à mettre ton bébé au monde
Avoir une sage-femme ou un·e médecin qui prend le temps d'expliquer, de rassurer, de te rappeler ta puissance
Ne pas être seule face au diagnostic et à l'inquiétude
Pouvoir partager ton expérience avec d'autres parents qui sont passés par là
Ne pas hésiter à changer d'accompagnant·e si tu sens que la personne qui te suit est trop inquiète ou ne te soutient pas dans ton projet. Certaines sages-femmes ou certains médecins sont peu à l'aise avec la toxoplasmose par manque d'habitude. D'autres au contraire sauront t'accompagner avec sérénité et compétence.
Face à un diagnostic médical pendant la grossesse, le·la partenaire peut se sentir démuni·e. Il ou elle voudrait te protéger, te rassurer, mais ne sait pas toujours comment.
C'est un moment où l'accompagnement du·de la partenaire prend tout son sens : être présent·e aux rendez-vous médicaux, poser des questions, partager les inquiétudes mais aussi garder confiance dans le processus.
Certains futurs papas trouvent utile de se préparer en amont, pour pouvoir être un véritable soutien le jour J et pendant tout le parcours. Une préparation spécifique peut les aider à trouver leur place et à devenir de véritables "gardiens" de la naissance.
"Deux ans après ma première grossesse, je suis à nouveau enceinte. Cette fois, nouveau facteur de risque : je contracte la toxoplasmose au premier trimestre.
Moi qui rêvais enfin de concrétiser mon projet de naissance à la maison, je me retrouve dans un suivi hyper médicalisé : maternité de niveau 3, échographies mensuelles, amniocentèse… Au début, j'ai paniqué. Ma sage-femme aussi, d'ailleurs, ce qui n'a rien arrangé. J'ai changé d'accompagnante pour quelqu'un de plus sereine sur le sujet.
Ce qui m'a aidée :
- Échanger avec une autre maman qui l'avait aussi contractée - je me sentais moins seule et moins coupable (combien de fois je me suis demandée à quel moment j'avais commis une gaffe sans jamais trouver ?)
- Regarder les vraies statistiques françaises : la probabilité que la toxo atteigne le cerveau du bébé est vraiment très faible
- Ma nouvelle sage-femme qui m'aidait à garder confiance malgré la peur, à me rappeler que j'étais encore actrice de ma grossesse
J'ai pris de la spiramycine plusieurs mois et fait l'amniocentèse. Dès que les résultats sont arrivés (négatifs), j'ai arrêté l'antibiotique car le risque devenait encore plus faible.
Avec le recul, j'aurais aimé qu'on me parle de l'impact des antibiotiques sur ma flore intestinale et celle de mon bébé. Je n'ai pas eu le temps de la restaurer avant l'accouchement, et mon bébé a eu beaucoup de coliques dans ses premiers mois. Je ne saurai jamais si c'est lié, mais j'aurais préféré le savoir.
Dès que l'amniocentèse a été OK, j'ai demandé à revenir dans la petite maternité que j'avais choisie. Ça a été accepté sans souci. Finalement, j'ai pu accoucher à la maison comme je le souhaitais. La toxo ne m'a pas enlevé ce qui comptait le plus pour moi. »

La toxoplasmose pendant la grossesse, c'est :
Une infection parasitaire rare, mais bien connue et bien prise en charge en France
Un dépistage mensuel si tu n'es pas immunisée, pour détecter toute infection à temps
Un traitement antibiotique efficace en cas de séroconversion, qui réduit fortement le risque de transmission
Un suivi rapproché qui peut sembler lourd, mais qui permet de s'assurer que tout va bien
La possibilité de garder ton projet de naissance et ton pouvoir de décision, avec le bon accompagnement
L'importance d'être entourée de professionnel·les bienveillant·es qui croient en toi
L'importance d'avoir un.e partenaire qui est vraiment impliqué.e et s'est préparé.e
La confiance en toi, l'accompagnement humain et l'information claire font toute la différence. Tu restes actrice de ta grossesse et de ta naissance, quoi qu'il arrive.
Oui, absolument ! Tu peux continuer à câliner ton chat et à vivre avec lui normalement. Le risque se situe uniquement dans le contact avec ses excréments frais. Il suffit de demander à quelqu'un d'autre de s'occuper de la litière, ou de la nettoyer toi-même avec des gants en la vidant quotidiennement.
Pas de panique. Une seule exposition ne signifie pas automatiquement une contamination. Le risque existe mais reste faible. Si tu es inquiète, tu peux contacter ta sage-femme ou ton médecin qui pourra éventuellement avancer ta prochaine sérologie de contrôle. La plupart du temps, tout va bien.
Non. La France fait partie des rares pays européens avec un dépistage systématique mensuel pendant toute la grossesse. De nombreux pays (Royaume-Uni, Danemark, États-Unis, Canada, pays scandinaves) ne pratiquent pas de dépistage systématique car le risque y est considéré comme faible par rapport aux coûts et aux contraintes du dépistage. L'Autriche et la Belgique ont des protocoles proches de celui de la France.
Cette différence s'explique par la présence réelle du parasite dans l'environnement. En France, environ 40 % des adultes ont déjà rencontré le parasite au cours de leur vie, contre moins de 10 % au Royaume-Uni. Cela signifie que le parasite circule beaucoup plus en France, et qu'une femme enceinte non immunisée a donc plus de risques de le rencontrer pendant sa grossesse. C'est lié à nos habitudes alimentaires (viande peu cuite, charcuterie crue) et à notre climat tempéré et humide qui favorise la survie du parasite dans les sols.
Cela dépend de ta situation spécifique et des résultats de ton suivi. Si l'amniocentèse montre que le bébé n'est pas infecté et que les échographies sont rassurantes, un accouchement dans une petite structure ou à domicile peut rester envisageable. C'est une discussion à avoir avec ta sage-femme et l'équipe médicale qui te suit. Chaque situation est unique.
La durée du traitement dépend de plusieurs facteurs : le terme auquel survient l'infection, les résultats de l'amniocentèse, et les choix médicaux. La spiramycine peut être donnée pendant plusieurs semaines à plusieurs mois. Certains protocoles proposent un traitement jusqu'à l'accouchement, d'autres jusqu'aux résultats du diagnostic prénatal. Discute avec ton médecin pour comprendre le bénéfice-risque dans ta situation et d'ajuster le traitement selon l'évolution.
Non, l'amniocentèse, comme n'importe quel examen, n'est jamais obligatoire. C'est une proposition que tu es libre d'accepter ou de refuser après avoir reçu toutes les informations nécessaires. Le risque de fausse couche lié à l'amniocentèse (0,5 à 1 %) doit être mis en balance avec le risque de transmission au bébé et la gravité potentielle selon le terme de la grossesse. Certaines femmes choisissent de faire l'amniocentèse pour être rassurées ou adapter la prise en charge, d'autres préfèrent poursuivre le traitement antibiotique et la surveillance échographique sans ce diagnostic invasif. Les deux choix sont légitimes.
Le risque de transmission au bébé est d'environ 15 % au premier trimestre, 44 % au deuxième trimestre et 71 % au troisième trimestre. Mais attention : ces chiffres représentent le risque de transmission, pas de maladie grave. La plupart des toxoplasmoses congénitales sont asymptomatiques à la naissance, et les formes sévères sont peu fréquentes. Avec un traitement rapide et un suivi adapté, la très grande majorité des bébés vont bien.
Oui ! Il suffit de la consommer bien cuite, sans trace de rose à cœur. Les steaks hachés, les saucisses, le poulet, l'agneau... tout est possible s'ils sont bien cuits. En revanche, évite la viande crue ou saignante, la charcuterie crue (saucisson, jambon cru...) et les produits fumés artisanaux.
Non, il n'existe actuellement aucun vaccin contre la toxoplasmose humaine. C'est pourquoi la prévention repose uniquement sur les mesures d'hygiène alimentaire et les précautions avec la terre et les chats.
Le stress est une réaction normale face à ces contraintes. N'hésite pas à en parler avec ta sage-femme ou ton médecin. Parfois, comprendre les statistiques réelles et relativiser le protocole français peut aider. Échanger avec d'autres parents qui ont vécu cette situation peut aussi être précieux. Et surtout, entoure-toi de professionnel·les qui te rassurent plutôt que de t'inquiéter davantage.
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Halos, L. et al. (2015). Animaux réservoirs de Toxoplasma gondii : état des lieux en France. Revue scientifique et technique de l'Office international des épizooties.
Wallon, M., Peyron, F. et al. (2013). Congenital toxoplasma infection: monthly prenatal screening decreases transmission rate and improves clinical outcome at age 3 years. Clinical Infectious Diseases.
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Organisation mondiale de la Santé - Bureau régional pour l'Europe, 2016. La toxoplasmose : sensibiliser davantage.
Centre de Référence sur les Agents Tératogènes (CRAT). Spiramycine – Grossesse.
Académie nationale de médecine. La prévention de la toxoplasmose congénitale en France. Évaluation des risques et résultats du dépistage anténatal.
Photos : Trnava University / Unsplash, Freestocks / Unsplash, Cassidy Rowell / Unsplash, Jamie Coupaud / Unsplash
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